Élevage

L’arbre comme levier d’autonomie grâce à ses débouchés

Hausse des températures, bien-être animal, sécheresse… face à ces enjeux actuels, l’élevage doit évoluer vers un modèle de production résilient. MyTree se positionne en tant qu’acteur de l’agroforesterie en plantant stratégiquement des arbres dans les prairies et apporte ainsi une réponse à ces problématiques qui allient performance, diversité de production et durabilité.

L’arbre au service du bien-être animal

Soumis aux aléas climatiques, les animaux dédient une grande partie de leur énergie à réguler leur température interne entraînant une baisse de qualité et de quantité dans leur production de lait ou de viande. Grâce à leur “effet parasol”, les arbres sont facteurs de bien-être animal, offrant un ombrage, un microclimat clément et une protection face aux intempéries. Une protection bénéfique également aux volailles contre les rapaces. En effet, les éleveurs avicoles sensibilisés au bien-être animal observent une franche diminution du stress dans leurs élevages sous un couvert arboré.

4°C en moins

lors des journées caniculaires grâce aux haies ¹

100 mètres cubes d’affouragement

de ligneux correspondent à 10 tonnes de foin soit une économie d’environ 1500€ ²

L’arbre, source de fourrage ligneux

Si l’herbe près des arbres est plus riche et verte, les prairies peinent toutefois à satisfaire les besoins alimentaires du bétail en période de sécheresse. Le fourrage à base de branches et de feuilles d’arbres est une réponse à ce manque d’herbe. C’est pourquoi l’introduction d’arbres riches en nutriments est bénéfique pour les élevages. D’ailleurs, le frêne et le mûrier ont des apports plus nutritifs que les cultures fourragères. Recourir aux ressources ligneuses permet ainsi de conserver les stocks de fourrage destinés à l’hiver suivant.

L’arbre, puissant filtre des nitrates

Les nitrates issus des effluents d’élevage sont source de pollution des cours d’eau et perturbent la biodiversité comme la qualité de l’eau. Cet enjeu sanitaire et agricole peut être limité par la présence d’un bocage dense en privilégiant les haies de berges en bas-fond de bassin versant. Les racines aidées par les micro-organismes du sol agissent comme un filet de sécurité. Elles interceptent et recyclent les nitrates utiles à la croissance des végétaux. Ce processus d’épuration revient à diviser par 4 le flux de nitrate !

5 à 10% des flux de nitrates

sont réduit par une haie à l’échelle d’un bassin versant ³

30% d'économie de paille ⁴

L’arbre, valorisable en bois litière

Planter des haies pour l’usage du bois se révèle être une alternative à la paille et offre plusieurs avantages : économique, local et vecteur d’autonomie pour l’agriculteur. Absorbantes et drainantes, les plaquettes de bois sont optimales pour le confort des animaux, la litière est moins sale et peu odorante en comparaison à une litière classique de paille.

Source : ¹ ADEME, (2018), ² Chambre d’agriculture des Pays de la Loire, (2020), ³ CRESEB, (2021), ⁴ Chambre d’agriculture Nièvre, (2022).

Restructuration des pâturages

Meilleure répartition des excréments

Diminution des maladies

Réduction des nuisances sonores

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